Marché du travail libéral – atout traditionnel de la Suisse

La libre circulation des personnes nous a apporté plus d’étrangers et plus de chômeurs étrangers. Les mesures d’accompagnement ont totalement détruit notre marché du travail autrefois libéral. Depuis 2004, le droit du travail est étatisé et centralisé par les syndicats et les associations patronales. Les salariés et les employeurs sont mis sous tutelle et la volonté du peuple, qui a refusé massivement des règlementations étatiques des vacances et des salaires minimaux, est volontairement ignorée. Pendant ce temps les syndicats et associations patronales encaissent des millions. Et qui paie tout cela? Les salariés qui versent lesdites contributions de solidarité et nous tous par le biais d’une hausse des prix. Le problème ne vient simplement du niveau salarial élevé de la Suisse, mais du nombre croissant de conventions collectives de travail ayant force obligatoire qui uniformisent les salaires et maintiennent des structures inefficaces.